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Covid Safe Ticket : premiers jours dans une salle de fitness

Publié le 03 novembre 2021 à 18:54

Ce n'est pas un secret, depuis le premier novembre, le Covid Safe Ticket est demandé pour accéder à de nombreux établissements. Parmi eux, on trouve les salles de fitness. Certains exploitants craignent l'impact négatif d'une telle mesure sur la fréquentation de leur salle. D'autres estiment que tout ce qui peut éviter une nouvelle fermeture du secteur est à prendre. Exemple dans un centre sportif à Braine-le-Comte.

L’anticipation, la réactivité et l’adaptation, c’est un peu en ces termes que les responsables de ce Centre sportif Sportoase de Braine-le-Comte gèrent l’évolution de la crise du Covid-19. Prise de température à l’entrée du site, qui  comprend notamment une piscine et une salle de fitness, appareil de mesure de la qualité de l’air, ventilation, désinfection des machines, autant de mesures appliquées au fil du temps. Ici, l’instauration du Covid Safe Ticket, depuis le 1er novembre, est reçue avec philosophie et plutôt bien acceptée par les abonnés. C'est ce que ressent Bruno Van Lierde, manager du centre Sportoase de Braine-le-Comte :

« La plupart des gens ne posent aucun problème. Certains trouvent que la mesure est exagérée mais nous ne faisons que respecter les règles, sans polémiquer. Nous voyons qu’il y a une demande de pratiquer une activité physique. Nous avons d’ailleurs plus de membres qu’en 2019. »

Si la plupart des sportifs qui fréquentent cette salle de fitness sont en possession d’un Covid Safe Ticket, les non-détenteurs ne perdent pas pour autant l’argent investi dans leur abonnement.

« Nous avons mis en place le gel des abonnements, pour ceux qui le souhaitent. Ils restent membres et reviendront au terme de la mesure.  Mais cela risque de durer jusqu’au 15 janvier minimum. »

Comme d’autres secteurs, celui des salles de sport est soumis aux contrôles du respect des règles par les autorités.

«  Nous avons reçu la visite d’un agent du ministère des Affaires économiques. Il a regardé ce qui est mis en place, dans le cadre de la pandémie et du CST. »

Respecter les règles pour éviter à tout prix un nouvel arrêt d’activité du secteur et veiller au bien être des adhérents, c’est la volonté affichée par les gestionnaires du complexe brainois.

N. Elet

 

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